postato il 20 Lug 2010 in Senza categoria da Azazello
Paris la nuit est ancore plus jolie
Ca c’est la nuit qu’ il y a à Paris
Le peuple, la foule
Qui bouge come des fourmies
Ca c’est le monde qui vit a Paris
La musique se lève dans toute la ville
Le vin et la magie,de son parfum
La foule qui se lève à chanter
Vive le quatorze juillet
Pa parappaparapapapaParis,
Pa parappaparapapapaParis
Pa parappaparapapapaParis,
Pa parappaparapapapaParis,
Paris et les ruelles
Paris et ses galeries
L’odeur de la seine
Les histoires et sa magie
Les tetes coupèes
Pour avoir la libertè
Et come ce grand jour
rien ancore est changé
Paris, Paris
Paris, la paresseuse
Paris la nuit est ancore plus jolie
Paris, Paris
Paris et ses amoureux
Ca c’est le monde qui vit à Paris.
La musique se lève dans toute la ville
Le vin et la magie,de son parfum
La foule qui se lève à chanter
Vive le quatorze juillet
Pa parappaparapapapaParis,
Pa parappaparapapapaParis
Pa parappaparapapapaParis,
Pa parappaparapapapaParis,
Pa parappaparapapapaParis,
Pa parappaparapapapaParis
Pa parappaparapapapaParis,
Pa parappaparapapapaParis,
postato il 20 Lug 2010 in Senza categoria da Viandante Solitario
Je vous parle d’un temps,
Que les moins de vingt ans,
Ne peuvent pas connaître,
Montmartre en ce temps là,
Accrochait ses lilas,
Jusque sous nos fenêtres,
Et si l’humble garni,
Qui nous servait de lit,
Ne payait pas de mine,
C’est là qu’on s’est connu,
Moi qui criait famine et toi,
Qui posait nue,
La Bohème, la Bohème,
Ca voulait dire, on est heureux,
La Bohème, la Bohème,
Nous ne mangions,
Qu’un jour sur deux.
Dans les cafés voisins,
Nous étions quelques uns,
Qui attendions la gloire,
Et bien que miséreux,
Avec le ventre creux,
Nous ne cessions d’y croire,
Et quand quelques bistrots,
Contre un bon repas chaud,
Nous prenaient une toile,
Nous récitions des vers,
Grouppés autour du poêle,
En oubliant l’hiver.
La Bohème, la Bohème,
Ca voulait dire,
Tu es jolie,
La Bohème, la Bohème,
Et nous avions tous du génie.
Souvent il m’arrivait,
Devant mon chevalet,
De passer des nuits blanches,
Retouchant le dessin,
De la ligne d’un sein,
Du galbe d’une hanche,
Et ce n’est qu’au matin,
L’on s’asseyait enfin,
Devant un café crème,
Epuisés, mais ravis,
Faut-il bien que l’on s’aime,
Et que l’on aime la vie.
La Bohème, la Bohème,
Ca voulait dire, on a vingt ans,
La Bohème, la Bohème,
Et nous vivions de l’air du temps.
Quant au hasard des jours,
Je m’en vais faire un tour,
A mon ancienne adresse,
Je ne reconnais plus,
Ni les murs, ni les rues,
Qu’y ont vus ma jeunesse,
En haut d’un escalier,
Je cherche l’atelier dont plus rien ne subsiste,
Dans son nouveau décor,
Momtmartre semble triste,
Et les lilas sont morts.
La Bohème, la Bohème,
On était jeunes,
On était fous,
La Bohème, la Bohème,
Ca ne veut plus rien dire du tout.